Transcriptions écrites
Le 17 mai 2009 - Le Mas Dieu
Mes enfants, vous pouvez rester assis. Mes enfants, Je vous demande de prier, prier, prier. Car le monde part à la dérive. Cette dérive, qui n’est liée qu’à des supercheries économiques. Ayez confiance, nous sommes là. Nous redresserons la situation en temps voulu. Mes enfants, il vous reste un an et demi à vivre dans une douleur économique. Mes enfants, toutes vos prières servent à apporter l’Amour et la Paix à tous ceux qui souffrent dans tous les pays du monde. Il n’y a pas de race, il n’y a pas de pays, il n’y a qu’un seul monde. Dieu le Père, ici, vous demande d’élever les mains vers le Ciel. Toute Sa grâce, toute Sa bénédiction, toute Sa miséricorde, Il vous la transmet pour que vous soyez humbles représentants de Son Amour et de Sa Paix. Soyez uniques en ce monde, soyez unis, unis. Ce monde n’est à l’heure actuelle que le reflet de l’être humain mais ce monde deviendra le reflet de Dieu, parce que Dieu, dans Sa très grande Miséricorde, vous prendra sous Son grand Amour. Il va vous apporter ce que vous n’avez jamais ressenti : cette chaleur immense qui envahit les veines, qui envahit les artères, cette chaleur qui va vous inonder d’Amour et de Paix. Aujourd’hui, mes enfants, ce qui se passe, il faut que vous le sachiez. Vous ne savez pas, vous pensez connaître, vous pensez connaître. (Roger ressent les souffrances et se tord de douleur, et tombe sur le côté en ressentant les coups de machettes : « Mon ventre est ouvert, ma chair est dehors, mes mains pleines de sang. C’est le sang du Christ que l’on verse tous les jours, c’est le sang du Christ. » Roger se relève, et dit de ne pas bouger.) Mes enfants, ce n’est qu’un aperçu. Savez-vous comment en Inde on fait pour récupérer les yeux ? Regardez bien (Roger pose ses lunettes, tombe, et porte ses mains à son visage en faisant le geste d’arracher les yeux : « C’est un trou, un trou, où il est (l’œil) Madre, Madre, Madre. ») Soyez sûrs que nous sommes présents et que vous avez besoin de savoir. Le monde, la cruauté permet aux hommes, certains, de vivre. (Roger ressent une très grande douleur, respire avec peine et tombe renversant au passage un pot de fleurs.) Ce n’est pas un scénario de film, c’est une vérité qui se vit tous les jours, que vous ne connaissez pas, que les hommes ne connaissent pas et il y en a d’autres, je ne vous expliquerai pas le reste. Mais vous savez, on est capable d’ouvrir le ventre d’un enfant, pour récupérer son cœur, pour lui récupérer ses reins, pour lui récupérer ses organes vitaux. Tous ses organes sont adressés à des gens qui ont de l’argent, et qui font du commerce. Alors aujourd’hui, je vous demande vraiment la prière, la prière de la foi, la prière de l’amour, je vous demande d’élever vos mains vers le Ciel, je vous demande de m’appeler, d’appeler mon Fils. Mon Fils, aujourd’hui, on Le remet sur la Croix, cette croix qu’Il connaît, cette croix qui Le fait souffrir. Il souffre, mes enfants, soyez dignes de votre Frère, mes enfants. (Roger tombe et ressent une très grande douleur en faisant signe qu’on coupe la tête : « Ils ont coupé, pourquoi ? Pourquoi ils coupent, pourquoi ils tranchent ? ») Mes enfants, je voudrai simplement que vous sachiez, ce n’est un pas un scénario, c’est une vérité et encore, elle est loin du réel. Je peux vous expliquer ce qu’est une machette, je peux vous expliquer ce qu’est une pioche africaine, je peux vous expliquer ce qu’est un bois, un bois qui frappe et qui tue. Mes enfants, je vous demande la prière, l’amour, soyez unis, soyez priants. J’aiderai vos problèmes. Je vous en prie, soyez priants pour tout le monde, pour tous ceux qui souffrent, pour tous ces petits enfants, les enfants de ma chair, ceux qu’on dilapide, ceux qu’on massacre pour permettre a certains de vivre heureux, ceux que l’on jette dans les rivières. Ecoutez bien, écoutez bien, on ouvre, on retire et on jette, on jette dans la rivière, écoutez bien. Le monde que vous vivez à l’heure actuelle, vous n’en avez pas conscience, même la télé ne vous le montrera jamais. Ecoutez bien, vous êtes au seuil d’une nouvelle vie et c’est maintenant qu’il faut avancer. (Roger respire très fort : « On étrangle les bébés pour récupérer leur cœur.) Mes enfants, excusez moi, aujourd’hui je vous ai amenés sur un terrain très sensible. Il faut que vous sachiez que vous n’êtes pas dans un monde qui est tout beau, tout merveilleux. Donc aujourd’hui, vos prières doivent apporter le soutien à tous ceux qui souffrent dans ce monde. Allez-y, avancez, avancez, c’est votre foi qui fera grandir ce monde, c’est votre foi qui unira le peuple, c’est votre foi qui va permettre au monde de se surélever par rapport à cette ignominie des politiques, du Malin. Les politiques ne sont pas fautifs, ce sont ce que vous appelez vous des trusts, c’est, c’est les grandes superficies je ne sais pas. (Roger est encore en souffrance.) Battez-vous, battez-vous, avancez, avancez. Mes enfants, vous êtes dignes de Dieu. Vous êtes dignes de Mon Fils. Ne pleurez pas, avancez, avancez. Mon Fils est là ! Mes frères « Les clous qui sont dans mes mains, sont offerts. Je vous demande, Je vous demande simplement de dire au monde que ce n’est pas le clou qui fait mal, c’est l’homme qui fait mal. Mes frères, Je suis présent en chaque jour en chaque humain. Mes frères, avancez dans la Paix et l’Amour. Je suis heureuse d’être là, ça fera plaisir. (Jean Marie, tu m’écoutes ?) C’est Mademoiselle Cadènes, je ne veux pas que vous pleuriez, ça sert à rien, vous savez que j’ai toujours vécu une vie, un petit peu d’ascète, où j’étais en permanence avec le Padre (Pio). Aujourd’hui je suis heureuse parce que je peux vous aider, je peux vous apporter quelque chose et Jean-Marie est là pour le prouver. Avancez, avancez. (Roger respire avec difficulté.) Vous savez, on a brûlé mon lit, il est venu la nuit m’assaillir, il m’a fait beaucoup de choses, j’en suis sortie indemne. Aujourd’hui je viens avec vous parce que vais vous aider, parce qu’il ne peut rien contre vous. Il ne peut faire que du…, il ne peut faire que du mal, (Roger tombe, et dit : « c’est pas grave, c’est pas grave. »), que du mal physique, mais ce mal se guérit par l’Esprit, et l’Amour de Dieu le Père. Mes enfants, vous êtes confrontés à la vie du bien et du mal, mais pourquoi, n’en prenez vous pas conscience ? Pourquoi ? Qu’est ce que vous voulez ? Un chèque à la fin du mois ? Mais je vous envoie des millions et vous n’aurez rien. (Roger reçoit une autre attaque.) Mes enfants, je vous aime, et de cet Amour, Dieu vous demande d’en prendre conscience. Je vous demande d’avancer dans la Paix. Je vous demande d’aider vos frères. Aujourd’hui, c’est le jour d’avancer pour tous, pour tous : « Au nom du Père, du Fils et du Saint-Esprit. » (Roger se relève et demande au prêtre présent : « Bénissez moi, mon Père. » Ce que celui-ci fait immédiatement en prononçant : « Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit. » après une prière silencieuse. Roger pleure.) Il faut prier, ne pleurez pas, il faut prier. Tous ces enfants qui souffrent, tous ces enfants à qui on retire une partie de leur vie, il faut les aider à vivre et il n’y a que la prière qui peut le faire. Il n’y que le don à Dieu qui peut le faire. (« Comment on fait ? Comment on fait ? Comment on fait ? » (Roger pleure, est effondré.) « Comment on fait ? » Les prières reprennent……… ) (La fin du message a été donnée par La Très Ste Vierge, par l’intermédiaire de Roger à Jean-Marie le 19/05/09.) Je suis Marie Mère des hommes et dans mon grand Amour envers tous mes enfants, je suis là uniquement pour vous faire prendre conscience du déchaînement du Malin. Par mon amour, j’intercéderai auprès du Père afin que Sa grande Miséricorde vous soulage sur ce chemin. Les Saints et Moi-même sommes unis pour votre réussite et la réussite du Monde. Marie Mère des hommes